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    "Le Bulletin n°6"

     

    Ce bulletin N°6 est placé sous le signe des Jeux olympiques de Paris.

    Il nous est apparu incontournable de nous associer à cet évènement d’autant que la flamme olympique passe à Saint-Fargeau le 11 juillet ce qui sera l’occasion d’organiser une grande et mémorable fête populaire.

    Ce Bulletin est donc un numéro tout particulier exclusivement consacré aux sports : A l’histoire de l’olympisme d’abord et surtout à la très dynamique histoire des associations sportives de Saint-Fargeau.

     

     

     


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    Rendez-vous du 21 au 23 juin 2024,

    pour découvrir et célébrer le patrimoine de pays partout en France, autour du thème : 

    "L'eau , utile à tous"

    Comme chaque année nous y participerons.

     

    Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins 2024

     

    Bientôt le programme de st Fargeau  

     

     

     


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     NOS RENDEZ VOUS POUR 2024

     

    premier semestre

    Samedi 4 Mai 2024

    Assemblée Générale à 16H  dans la salle du bief au presbytère de Saint-Fargeau , 2 rue Michel Lepelletier

    Lors de notre assemblée, nous présenterons le "Bulletin n° 6" consacré au sport en cette année olympique « Paris 2024 »

     

    Jeudi 30 mai 2024 

    50 ans du jumelage avec Hermeskeil

    Nous participerons à l’accueil des allemands avec visite d’un monument de notre ville (à confirmer)

     

    Jeudi 30 mai 2024

    Un stand "Histoire et Patrimoine" sera au marché des producteurs (à confirmer)

     

    21-23 Juin 2024

    JPPM 2024 Journée du Patrimoine et des Moulins 

     Thème de l’année : « L’eau Utile à Tous »

     le programme de St Fargeau se déroulera sur Cinq demi-journées.

     

     

     Le 11 juillet 2024 la flamme olympique  passera par Saint-Fargeau

    Et pendant tout l’été à partir du 11 juillet et tout le temps des jeux olympiques et paralympiques, l’association, en collaboration avec la mairie, organisera une exposition faite de 16 panneaux mettant en valeur les associations sportives fargeaulaises.

     

     

    deuxième semestre

    Septembre

    Inauguration de la nouvelle mairie.

    L’association "Histoire et Patrimoine" en trois ou quatre affiches  exposera  l’histoire de l’ancienne école devenue mairie et celle du musée du son, ancien couvent des Augustins

                                                                                     

    Octobre-novembre

    Exposition d’automne : Panorama en photos de Saint-Fargeau d’hier et d’aujourd’hui

     

    Décembre                                                                                                                                               

    Marché de Noël     (date à préciser)  

     

       


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    "le bulletin" n°5

     

    A l occasion de notre exposition vous pourrez découvrir notre "bulletin" N°5 .

    Il comporte 3 articles: le premier a pour objet l’étude du métier de maréchal ferrant avec Théophile Ravault , et le deuxième présente le parcours de l’entreprise Louault au cours du XX° siècle, ainsi qu’en ce début du XXI° siècle.

    Le troisième article très différent, se penche sur un bienfaiteur de la ville dont une des avenues porte le nom : Michel de Toro.

    Bonne lecture et n'hésitez pas à nous donner votre avis sur nos travaux.

     

     

     

     

     


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    Expo 2023

     

    Comme chaque année, nous présentons notre exposition d’automne

    au Musée de l’Aventure du Son à Saint-Fargeau.

     du Samedi 21 octobre au mercredi 1er novembre

    de 14H à 18h.

    vernissage vendredi 20 octobre à 18h

     

    Cette année, dans la prolongation de nos recherches sur les activités du fer dans notre région, nous présentons Théophile Ravault un des derniers maréchaux-ferrants de Puisaye ainsi que l’entreprise familiale Louault dont le siège social est à Saint-Fargeau.

     

     

    A l’occasion de l’exposition vous pourrez découvrir notre bulletin N°5 .  

     

     

     

     


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    Toucy'Storic 2023

     

    Toucy'Storic

    à l église de Toucy

    Nous serons présents à la "foire au livre historique de Toucy"

    Samedi 26 aout 2023 entre 10h et 18h.

     

    Nous y presenterons

    - les 4 "BULLETINS" de notre association,

    - les livres de Veronique Rousseau qui, à travers ses archives familiales fait renaitre la vie en Puisaye autrefois.

    - les Cahiers de Jean Marie Vernhes qui édite un septième ouvrage.

                        Venez nous rendre une petite visite.

     

     

     

     

     

     

     

     


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                                        Récit de « l’exode » raconté par une petite fille de Saint Fargeau

     

    Richesse et plaisir d’avoir des relations de bon voisinage ! Je m’entends très bien avec ma voisine. Je n’ai qu’à traverser la rue, ouvrir sa porte et m’annoncer par cette petite onomatopée : « toc toc toc !» C’est notre petit rituel. Il me permet à moi, de ne pas être intrusive; à elle, de ne pas être surprise ; « Ah ! C’est madame D. qui vient me voir !» dit-elle, la voix accueillante et chaleureuse.

    Et nous voilà à papoter de choses et d’autres. "De coq en âne et d’âne en bergerie", j’en suis venue un jour à parler de l’exposition que nous avions organisée à l’occasion du centenaire de la grande guerre, en 2018. De guerre en guerre, nous voilà en 1940. Cette guerre là, Rose l’a vécue ! Elle avait 10 ans. Elle raconte :

     

    « Mes grands-parents vivaient à Saint-Fargeau dans cette maison que nous habitons aujourd’hui.

    En 1940, ma grand-mère était veuve et mon père était installé avec la famille qu’il avait fondée, à Montereau en Seine et Marne où il était ajusteur tourneur. A l’époque nous étions déjà six enfants. (Six autres frères et sœurs naquirent par la suite). Et moi, j’avais 10 ans quand la guerre a commencé . 

    Comme tous les français (1) son père et sa mère en 1940, ont vécu ce vent de panique qui a jeté la population sur les routes, fuyant la fulgurante avancée des troupes allemandes.

     

    « Il faut partir !» décida mon père « Mais avant, on passe par Saint-Fargeau pour prendre maman avec nous »

    « C’est ainsi que ma grand-mère paternelle nous vit débarquer dans la  voiture de mon grand-père maternel, tellement surchargée que mon père n’avait pu trouver place que debout sur le marchepied comme les voitures en avaient à l’époque.

    Ma grand-mère se rebiffa quand elle comprit que son fils venait la chercher: « Tu es fou ! Vous courez dans la gueule du loup !» Non, elle décida de rester là où elle avait toujours vécu. Et nous, après une nuit de repos, tous entassés dans sa maison, nous avons pris la route vers la Loire.

    Arrivés à Cosne, nous avons tout juste eu le temps de passer le pont. Je me souviens qu’il s’effondra juste derrière nous, atteint par une bombe. Mon père affolé, ne savait que faire ni où aller prévoyant un lâcher de bombes et notre mort certaine.

    Un soldat tout noir a surgi soudain. J’avais peur, peur ! Je n’avais jamais vu un noir et je croyais qu’il allait nous tuer ! 

    « N’ayez pas peur messieurs-dames, n’ayez pas peur, glissez vous là dans le chemin ». Et mon grand père s’engagea sur un petit chemin qui longeait le fleuve… »

     

    Que s’est-il passé après ? Cela reste bien vague. Elle revoit dans son souvenir « une place ronde ornée d’une fontaine au milieu ; une sorte de  rond  point », dit-elle.

    Elle se souvient aussi que le maire du village les avait accueillis pendant trois jours.

    Après, Rose ne se souvient pas comment la famille s’est retrouvée à Saint-Fargeau.

    Mais elle continue son récit :

    « Nous voilà revenus à Saint Fargeau. Mes parents  sont repartis, mais à la demande de ma grand-mère, ils nous ont laissées ma sœur et moi, avec elle. C’est comme ça que je suis restée toute la guerre à Saint-Fargeau où je suis allée à l’école.

     

     

    (1) Selon les recherches de l’historien Jean-Pierre Azéma, entre le 15 mai et le 10 juin 1940, au moins six millions de français (un cinquième de la population) abandonnent leur domicile et participent à l’exode de 1940 sous les attaques des Stuka de la Luftwaffe. On peut imaginer civils et soldats en déroute tous mêlés aux soldats allemands dans un chaos inextricable ; ce qui contribua à ruiner plus encore, la logistique militaire française.

     

    Je me souviens que les allemands étaient sur la place, derrière l’église. On les voyait de la maison. C’est là qu’ils faisaient leur popote. Sinon, ils avaient réquisitionné la maison en face du lavoir rue faubourg de Bourgogne. Nous, les gosses, on les épiait bien vite par la fenêtre. Ils soulevaient les planches de parquet et ils y planquaient de la bière.

     

    Tous les soirs, il y avait deux soldats qui descendaient la rue de Bourgogne. Je ne sais pas d’où ils venaient. Mais ce dont je me souviens bien c’est que ma grand-mère tout à fait au début, nous avait fait asseoir un jour avec ma sœur sur le perron et nous avait demandé de chanter cette chanson très connue à son époque :

    «Mes chers petits baissez la voix

    Parler français  n’est plus permis

    aux petits enfants de l’Alsace »…

     

    Alors le sous-officier qui passait à ce moment là, nous a dit d’une grosse voix : « Appelez votre grand-mère ! »

    A ma grand-mère, sévèrement, il a dit : « Madame ce n’est pas bien de chanter ça. Il faut plus qu’elles chantent ça !!! » Nous, on a plus jamais osé chanter !

    Les allemands venaient parfois demander la permission, toujours très poliment, de faire cuire leurs œufs durs pour la route et de faire du café.

    Le plus vieux des soldats (sûrement le sous-officier qui commandait la compagnie), s’était attaché à la petite fille que j’étais alors. Il expliquait à ma grand-mère qu’il avait laissé là-bas en Allemagne, une petite fille de mon âge et qui me ressemblait. Un jour, il a demandé à ma grand mère la permission de m’emmener au COOP en bas de la rue de l’Église. Elle a permis ! Vous vous rendez compte si aujourd’hui on laisserait partir une gamine avec un inconnu ; un occupant de surcroît ! Et bien il m’a acheté une robe blanche et des souliers blancs. j’étais contente ! Je m’en souviens très bien. »

                                                                        ***

     

    Mémoire des gens d’ici. Délice de les faire parler !

    Mais Mémoire n’est pas Histoire. De faux souvenirs peuvent se glisser en toute sincérité au milieu des récits.

    La voiture est-elle vraiment passée la dernière avant que le pont ne s’écroule ?

    Est-ce bien un soldat noir qui indiqua au grand-père ce petit chemin pour se réfugier ?

    Qu’importe, c’est ce que ma voisine a vécu et ressenti qui donne tout le sel à ce témoignage si touchant ; et indignation assurée de ma voisine, si on osait mettre en doute son souvenir !

     

    L'exode raconté par Rose

                                                                                                                                   le pont de Cosne, bombardé le 16 juin 1940

    ***

    Pour donner toute sa place à l’histoire, il convient d’aller plus loin.

    Christian Villetard très au fait de  la deuxième guerre et fort documenté sur l’aviation de cette époque, contribue à cette recherche et nous apporte ses connaissances  sur l’histoire de l’aviation ennemie.

     

    Contexte général :

    Dès le 12 juin Le Général Maxime Weigand , alors commandant en chef de l’armée française, estime qu’il n’y a plus d’espoir de repousser l’ennemi, les batailles de la Somme et de l’Aisne étant perdues. Il donne l’ordre à l’armée de se replier derrière la Loire où il essaye d’improviser une ligne de défense. Le même jour, en conseil des ministres réuni à Breteau, au château du Muguet, il incite le gouvernement à demander l’armistice. Il est soutenu par le Maréchal Pétain ministre d’état et vice-président du conseil. Le 16 Juin au soir, le président du conseil Paul Reynaud démissionne. Philippe Pétain prend la tête du gouvernement. Le lendemain, est diffusée à la radio cette grave décision « de cesser les combats » , qui aura de lourdes conséquences dans les jours suivants.

     

    Situation pour la région centre-est, autour de la Loire :

     Le 16 juin, des unités de l'armée française franchissent la Loire entre Cosne-cours-sur-Loire et Decize.

    Pour les empêcher de passer et pour terroriser les réfugiés, la Luftwaffe ( armée de l’air allemande ) depuis le 15 jusqu’au 18 juin, bombarde systématiquement les ponts de la Loire. Ceux de Sully sur Loire et de Cosne-Cours- sur Loire sont détruits le 16 juin, par une formation de bombardiers  Ju 87 Stuka.

    Toucy subit aussi un  bombardement très meurtrier,  le samedi 15 juin, jour de marché.

    Les 16 et 17 Juin les premières unités de l’armée allemande atteignent la Loire ( Orléans, Sully sur Loire, Gien, La Charité sur Loire, Cosne-Cours-sur-Loire …)

     

    La réplique de l’armée française contre cette attaque allemande sur Cosne-sur Loire:

    Une patrouille de 3 Dewoitine D520 du Groupe de Chasse II/3 basé alors à Avord ( près de Bourges ) abattront deux des avions ennemis impliqués dans ce raid.

    L’armée française avait également reçu l’ordre de détruire les ponts pour ralentir l’avancée des allemands, ce qui fut fait par le 4° régiment du génie dans de nombreux endroits.

    Mais hélas les opérations furent partielles car les explosifs manquèrent souvent.  Pour mémoire, Le capitaine Pierre Brossolette passa la Loire à Sully-sur-Loire avec sa compagnie en retraite le 17 juin sur le viaduc de chemin de fer qui ne put être détruit.

    Voici ce qu’écrit dans le Journal du Centre,  Pierre Peyret, le 25/7/2015 lors de la commémoration  des soldats français tombés sous les balles allemandes au viaduc de Port-Aubry le 17 juin 1940.(Il s’agit du viaduc qui relie Cosne-Cours-sur-Loire à Bannay dans le Cher.)

    « À la mémoire du capitaine Buc et du brigadier Rault, tombés au feu à la tête du détachement qui tenta, le 17 juin 1940, de soustraire aux forces d'invasion la maîtrise du pont de chemin de fer de Port-Aubry ». 

     

    Dès le 22 juin, après la signature de l’armistice (qui prend effet le 25 juin) les allemands réparèrent le pont pour pouvoir à nouveau franchir la Loire. Ironie de l’histoire, les forces d’occupation allemandes autoriseront les français de retour de l’exode à franchir le pont en sens inverse. Il sera à nouveau bombardé par les allemands en juillet 44, cette fois-ci, pour protéger leur retraite…

     

    Qui a vraiment bombardé le pont de Cosne- Cours-sur-Loire ?

    Des rumeurs, comme il en circulait beaucoup pendant l’exode, font état de bombardements d’avions italiens, entrés en guerre le 10 Juin.  En réalité, les combats aériens italiens se sont cantonnés au bombardement du sud est de la France (2)

    C’est la Regia Aeronautica qui affronte l'Armée de l'Air  française lors de la bataille des Alpes. Des vols de reconnaissance débutent sur le territoire français le 11 juin 1940.  Huit bombardiers Fiat BR.20 Cicogna et sept chasseurs Fiat CR.42 Falcon sont mis hors de combat, détruits ou endommagés par la chasse, la DCA ou les conditions météorologiques. Des bombardements sont effectués à partir du 13 juin sur les ports de Toulon et Marseille, les aérodromes de Fayence, d’Hyères, de Cuers-Pierrefeu, du Cannet-des-Maures et sur les forts de la frontière italo-française.

     

    (2) Les opérations aériennes italiennes sur la France en juin 1940. Extraits traduits par Lucien Morareau de l’ouvrage de Giancarlo Garello « Regia Aeronautica e Armée de l’Air 1940 – 1943 », Ufficio storico dell’Aeronautica militaire, 1975. Giorgio Rochat, « La campagne italienne de juin 1940 dans les Alpes occidentales », Revue historique des armées, 250, 2008.

     

    Quelques bombardements italiens sans dégâts importants sont également menés contre les villes corses de Calvi et de Bonifacio.

     

    Qui était ce brave soldat « noir » qui terrorisa tant la petite Rose ?

    Il appartenait forcément à une unité française en déroute et totalement désintégrée  

    Pour rendre hommage à sa mémoire et à celle des régiments de l’infanterie coloniale (RIC) , voici ce qu’on peut retenir de ces régiments de tirailleurs dits  « sénégalais » mais qui en réalité depuis les guerres de colonisation, désignaient les régiments africains. Terminologie destinée à les différencier des régiments d’Afrique du Nord.

    Pour ne retenir que leur participation à la campagne de France de 1939-1940 :

    En 1940, sur 5 millions de mobilisés, l'armée française compte 500 000 engagés (178 000 Africains et  Malgaches, 320 000 Maghrébins) soit huit Divisions d’Infanterie Coloniale (DIC). Les Sénégalais sont incorporés avec les fantassins des Régiments d’Infanterie Coloniale (RIC) et avec les artilleurs des Régiments d’Artillerie Coloniale (RAC). Les tirailleurs sénégalais participent tout au long de la guerre  aux combats en France, en Libye et en Tunisie puis en Italie, à nouveau en France et enfin, en Allemagne.

    Après l’anéantissement de leurs régiments au cours des combats de mai-juin 1940, les rescapés sont rattachés à d’autres unités :  26e RTS, ou de la 8e DIC.

    Notre soldat était-il un rescapé du 26e RTS, ou de la 8e DIC ? La terreur de la petite Rose fait foi et rend plus que vraisemblable  la présence d’un «artilleur sénégalais » ce jour là sur la rive gauche de la Loire,

     ***

    Mémoire n’est pas histoire disions-nous.

    Cependant parfois les deux se mêlent obscurément et même si l’historien reste vigilant, gardons nous dans ce récit d’émettre aucun doute. Nous fâcherions ma vieille amie  qui nous fait le beau cadeau de ses souvenirs. Alors, à quoi bon ?

     

                            Brigitte Demay de Goustine

     

     

     

     

                                       

     


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    Nous vous attendons nombreux pour ces journées du patrimoine 2023

    à St Fargeau.

    JPPM 2023 à St Fargeau

     

     

     

     


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    Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins (23,24,25 juin 2023) 

    «25 ans d'existence»

     

    Le sujet que nous avons retenu pour le 24 juin : les « Biens Aisés ». Visite commentée de la propriété.

    Des précisions comme le lieu et l'heure vous seront communiquées ultérieurement.

     

    Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins 2023

     

    Découvrir et célébrer le patrimoine de pays partout en France, autour du thème :"Fêtons 25 ans d’engagement"

     


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    Conseil d’Administration  en 2021  = 12 membres  

                                          

    Brigitte Demay de Goustine : Présidente

    Nadège Vallet : Vice présidente

    Françoise van Zon : Secrétaire

    Françoise Lelard : Secrétaire adjointe

    Marie-Thérèse Mantez : Trésorière

    Claude Lesire : Trésorier adjoint

     

    Thierry Darques ; (décédé en cours de mandat)

    Claude Mantez

    Claude Reby

    Yves Rousselet

    Françoise Ummenhover

    Jean-Marie Vernhes

     


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